4e de couverture
Après vingt ans d’exil à New York, Mary Ann Singleton revient sur les lieux de sa jeunesse à San Francisco. Trompée par son mari, atteinte d’un cancer, elle a décidé de se battre pour changer de vie. Elle est hébergée par son ami de toujours, Michael Tolliver, et retrouve Anna Madrigal, la légende du 28, Barbary Lane, qui n’a rien perdu de son humour ni de son énergie.
Dans Mary Ann en automne, Armistead Maupin pose sur notre société son regard caustique et plein de tendresse. Il observe avec curiosité le nouvel ordre amoureux initié par Facebook, explorant l’émergence du virtuel dans les rapports humains. Fidèle à l’esprit des Chroniques, ce huitième épisode est aussi un roman émouvant sur le temps qui passe et la quête du bonheur.
Né en 1944, Armistead Maupin a
passé sa jeunesse dans le sud des États-Unis. Outre les Chroniques, il a publié deux romans : Maybe
the Moon (Passage du Marais, 1999) et
Une voix dans la nuit (Éditions de
l’Olivier, 2001).
« Depuis le début des années 70, Armistead Maupin décoche ses banderilles à l’Amérique bien-pensante. » André Clavel, L’Express.
« Maupin est un sériai born conteur. » Didier Jacob, Le Nouvel Observateur.
« Le lecteur, immédiatement accroché, ne résiste guère à la saveur de cette dévorante histoire. » Michel Abescat, Télérama.
« On se laisse totalement emporter ! » Sean James Rose, Libération.
[1] Extrait de la chanson des Beades : « When Im Sixty-Four ». (Toutes les notes sont de la traductrice.)
[2] « Parce que tu es capable de me regarder sans me voir, de passer à côté de moi sans jamais avoir conscience de ma présence. »
[3] Snowflake signifie « flocon de neige » en anglais.
[4] En français dans le texte.
[5] « Non, tout n’ira pas pour le mieux, mais je sais qu’au fond la vie est belle. »
[6] Jeffrey Dahmer, surnommé « le cannibale de Milwaukee », était un tueur en série américain qui a avoué avoir assassiné dix-sept jeunes hommes entre 1978 et 1991.
[7] « Tu veux un bout de ma clémentine ? Jserai jamais vache avec toi, je le sais. »
[8] Cliff signifie « falaise » en anglais.